Québec
Du 29 avril au 2 mai 2010
Intervention
L’intervention a eu lieu le 1er mai 2010 à 15 h dans le cadre du vernissage itinérant de la MANIF D’ART 5 dont le thème est la catastrophe.
Folie/Culture criait au loup. Un immense toutou en forme de LOUP GRIS fut suspendu au-dessus de l’édifice du Théâtre de la Bordée, au coin des rues Notre-Dame-des-Anges et Dorchester, menaçant passants et curieux d’une catastrophe possible.
L’image du loup hante la psyché collective et cristallise des peurs profondément ancrées en chacun de nous. Dès l’enfance, le loup mangeur d’hommes représente LE danger qui se cache derrière chaque arbre de la forêt. « L’homme est un loup pour l’homme », et toute rencontre peut dissimuler une tragédie ou pire encore l’homme peut être un loup pour lui-même. L’âme humaine quant à elle, se charge de générer des peurs, réelles ou irrationnelles, qui renvoient aux craintes lointaines du loup des contes pour enfants.
Les apprentis sorciers, banquiers, boursiers, boursicoteurs capitalistes, courtiers, économistes, fraudeurs patentés et voleurs légalisés sont autant d’incarnations modernes du loup et n’ont qu’à bien se tenir.
Le LOUP GRIS cachait en ses entrailles quelques surprises. Eut lieu une mise à mort symbolique de toutes nos peurs, collectives et intimes, qui se déroulait lors du vernissage itinérant de la Manif d’art 5, le 1er mai 2010 dès 15 h.
La force symbolique de ce projet résidait, paradoxalement, dans la menace de la catastrophe imminente ainsi que dans sa résolution ludique.
Une idée originale du comité de programmation de Folie/Culture: Benoît Côté, Céline Marcotte, Éric Martin, Catherine Plaisance, Charles Rice, Alain-Martin Richard et Émilie Roi.
Collaboration : Théâtre de la Bordée, Manifestation internationale d’art de Québec, Giorgia Volpe et Geneviève Lapierre.
Québec
Du 29 avril au 2 mai 2010
Intervention
L’intervention a eu lieu le 1er mai 2010 à 15 h dans le cadre du vernissage itinérant de la MANIF D’ART 5 dont le thème est la catastrophe.
Folie/Culture criait au loup. Un immense toutou en forme de LOUP GRIS fut suspendu au-dessus de l’édifice du Théâtre de la Bordée, au coin des rues Notre-Dame-des-Anges et Dorchester, menaçant passants et curieux d’une catastrophe possible.
L’image du loup hante la psyché collective et cristallise des peurs profondément ancrées en chacun de nous. Dès l’enfance, le loup mangeur d’hommes représente LE danger qui se cache derrière chaque arbre de la forêt. « L’homme est un loup pour l’homme », et toute rencontre peut dissimuler une tragédie ou pire encore l’homme peut être un loup pour lui-même. L’âme humaine quant à elle, se charge de générer des peurs, réelles ou irrationnelles, qui renvoient aux craintes lointaines du loup des contes pour enfants.
Les apprentis sorciers, banquiers, boursiers, boursicoteurs capitalistes, courtiers, économistes, fraudeurs patentés et voleurs légalisés sont autant d’incarnations modernes du loup et n’ont qu’à bien se tenir.
Le LOUP GRIS cachait en ses entrailles quelques surprises. Eut lieu une mise à mort symbolique de toutes nos peurs, collectives et intimes, qui se déroulait lors du vernissage itinérant de la Manif d’art 5, le 1er mai 2010 dès 15 h.
La force symbolique de ce projet résidait, paradoxalement, dans la menace de la catastrophe imminente ainsi que dans sa résolution ludique.
Une idée originale du comité de programmation de Folie/Culture: Benoît Côté, Céline Marcotte, Éric Martin, Catherine Plaisance, Charles Rice, Alain-Martin Richard et Émilie Roi.
Collaboration : Théâtre de la Bordée, Manifestation internationale d’art de Québec, Giorgia Volpe et Geneviève Lapierre.