Québec
Participant(s) : Mélanie Bédard, Johanne Chagnon, Mario Duchesneau, Éric Létourneau.
Les villes sont des « milieux de culture » où se développent des maux inédits que seuls les traitements les plus audacieux peuvent soulager. Le Dispensaire Folie/Culture propose une médecine de brousse pour nos jungles urbaines où les soigneurs ne sont ni médecins, ni infirmières mais plutôt des artistes qui, à l’instar de chamans, soignent les maux par le biais de pratiques rituelles.
Pour mener à terme cette aventure, Folie/Culture a recruté quatre omnipraticiens des arts – Mélanie Bédard, Johanne Chagnon, Mario Duchesneau et Éric Létourneau – qui ont offert une médecine de la marge en occupant le parvis de l’Église St-Roch afin de prodiguer un remède métaphorique aux troubles de l’âme en milieu urbain.
Ces actions artistiques à but curatif se sont déployées dans la ville et ont débusqué de nouveaux points de convergence entre la santé mentale et l’action artistique. Par sa vision holistique et son effet cathartique, Le Dispensaire Folie/Culture proposait une approche dissidente de la médecine technologique qui persiste à voir le corps comme le résultat d’un déterminisme mécaniste.
Québec
Participant(s) : Mélanie Bédard, Johanne Chagnon, Mario Duchesneau, Éric Létourneau.
Les villes sont des « milieux de culture » où se développent des maux inédits que seuls les traitements les plus audacieux peuvent soulager. Le Dispensaire Folie/Culture propose une médecine de brousse pour nos jungles urbaines où les soigneurs ne sont ni médecins, ni infirmières mais plutôt des artistes qui, à l’instar de chamans, soignent les maux par le biais de pratiques rituelles.
Pour mener à terme cette aventure, Folie/Culture a recruté quatre omnipraticiens des arts – Mélanie Bédard, Johanne Chagnon, Mario Duchesneau et Éric Létourneau – qui ont offert une médecine de la marge en occupant le parvis de l’Église St-Roch afin de prodiguer un remède métaphorique aux troubles de l’âme en milieu urbain.
Ces actions artistiques à but curatif se sont déployées dans la ville et ont débusqué de nouveaux points de convergence entre la santé mentale et l’action artistique. Par sa vision holistique et son effet cathartique, Le Dispensaire Folie/Culture proposait une approche dissidente de la médecine technologique qui persiste à voir le corps comme le résultat d’un déterminisme mécaniste.