Participant(s) : José Acquelin, Pierre-André Arcand, Sandra Belzil, Andrée Bilodeau, Stéphane Boulianne, Jean-Paul Daoust, D. Kimm, André Lachance, Alain Larose, Frank Martel, Sylvie Nicolas, Jocelyn Robert.
Avec Ça va pas la tête!, Folie/Culture proposait une soirée multidisciplinaire sous le thème pathologie du vivant, soulignant la tendance actuelle à considérer toutes les activités humaines, jusqu’aux plus banales, comme des anomalies, comme des maladies ou à tout le moins des comportements erratiques. Ça va pas la tête! regroupait dix personnes de plusieurs régions du Québec diagnostiquées « artistes » et ayant différents symptômes de création – littéraires, poétiques, sonores, corporels, chorégraphiques, vidéographiques et musicaux.
Nous désirions, avec ce récital présenté dans un local commercial, modifier la mise en scène habituelle et inverser le processus. Les artistes étaient installés à différents endroits dans l’espace. Ce n’était plus les poètes qui se déplaçaient sur scène mais le public qui allait vers eux. Nous trouvions intéressant de faire voyager les spectateurs dans les méandres imaginaires des poètes tout en leur suggérant un parcours complexe, composé d’arrêts, de pauses, de départs et d’hésitations…
Participant(s) : José Acquelin, Pierre-André Arcand, Sandra Belzil, Andrée Bilodeau, Stéphane Boulianne, Jean-Paul Daoust, D. Kimm, André Lachance, Alain Larose, Frank Martel, Sylvie Nicolas, Jocelyn Robert.
Avec Ça va pas la tête!, Folie/Culture proposait une soirée multidisciplinaire sous le thème pathologie du vivant, soulignant la tendance actuelle à considérer toutes les activités humaines, jusqu’aux plus banales, comme des anomalies, comme des maladies ou à tout le moins des comportements erratiques. Ça va pas la tête! regroupait dix personnes de plusieurs régions du Québec diagnostiquées « artistes » et ayant différents symptômes de création – littéraires, poétiques, sonores, corporels, chorégraphiques, vidéographiques et musicaux.
Nous désirions, avec ce récital présenté dans un local commercial, modifier la mise en scène habituelle et inverser le processus. Les artistes étaient installés à différents endroits dans l’espace. Ce n’était plus les poètes qui se déplaçaient sur scène mais le public qui allait vers eux. Nous trouvions intéressant de faire voyager les spectateurs dans les méandres imaginaires des poètes tout en leur suggérant un parcours complexe, composé d’arrêts, de pauses, de départs et d’hésitations…